Tout d'abord, ceux qui me connaissent bien seront qu'un miracle a eu lieu hier : je me suis acheté des chaussures (des sandales pour être précise). La sainte qu'il faut remercier s'appelle Pauline.
Hier après-midi, je suis allée me promener à Puerto Madero accompagnée de Marie et ce matin, j'ai fait le tour de la feria (sorte de marché de la création) à la Plazia Francia, située à côté du cimetière de Ricoleta (équivalent latino-américain du Père-Lachaise). Enfin, j'ai visité le premier étage du Museo Nacional Bellas Artes.
Hier après-midi, je suis allée me promener à Puerto Madero accompagnée de Marie et ce matin, j'ai fait le tour de la feria (sorte de marché de la création) à la Plazia Francia, située à côté du cimetière de Ricoleta (équivalent latino-américain du Père-Lachaise). Enfin, j'ai visité le premier étage du Museo Nacional Bellas Artes.
Je vous livre quelques impressions en vrac.
Buenos Aires est une ville bruyante, aux trottoirs parfois bien cabossés mais il fait bon vivre. Un système complexe de bus (chaque ligne dépend d'une compagnie différente) dessert la ville et est très bien supplée par des taxis peu chers et nombreux. Les argentins sont faciles à aborder et répondent avec douceur. Les regards des hommes sont peu discrets, voire accompagnés de quelques paroles le plus souvent agréables. A les entendre, on croirait faire tourner la terre.
Les argentins s'habillent comme les européens, càd en ce moment, au vu de la chaleur, assez légèrement. A la différence près, qu'ils s'habillent bien : pas de taches, pas de complexes, pas de besoin de s'exhiber, mais pas non plus beaucoup d'hésitations sur les décolletés.
La sonnerie des SAMU et ambulances est la plus drôle que j'ai jamais entendue. On dirait le bruit d'une game-boy.
On dit que les argentins ne mangent pas de fruits et de légumes. c'est faux. On peut en trouver partout.
On dit que les argentins servent au restaurant d'énormes bouts de viande. C'est vrai. En voici la preuve :
Buenos Aires est une ville bruyante, aux trottoirs parfois bien cabossés mais il fait bon vivre. Un système complexe de bus (chaque ligne dépend d'une compagnie différente) dessert la ville et est très bien supplée par des taxis peu chers et nombreux. Les argentins sont faciles à aborder et répondent avec douceur. Les regards des hommes sont peu discrets, voire accompagnés de quelques paroles le plus souvent agréables. A les entendre, on croirait faire tourner la terre.
Les argentins s'habillent comme les européens, càd en ce moment, au vu de la chaleur, assez légèrement. A la différence près, qu'ils s'habillent bien : pas de taches, pas de complexes, pas de besoin de s'exhiber, mais pas non plus beaucoup d'hésitations sur les décolletés.
La sonnerie des SAMU et ambulances est la plus drôle que j'ai jamais entendue. On dirait le bruit d'une game-boy.
On dit que les argentins ne mangent pas de fruits et de légumes. c'est faux. On peut en trouver partout.
On dit que les argentins servent au restaurant d'énormes bouts de viande. C'est vrai. En voici la preuve :